Pétrole, gaz et charbon, face aux risques climatiques:
difficile de ne pas être pessimistes !
CONCLUSIONS AU PLAN MONDIAL
Il faudrait favoriser l’électricité peu carbonnée pour les transports, le chauffage et la climatisation. Priorité à la « décarbonation » de l’électricité.
Ceci suppose d’organiser des transferts financiers massifs pour stopper toutes constructions de centrales à charbon et fermer au plus vite possible celles existantes.
Ces transferts seraient en faveur des EnR, du nucléaire et du gaz naturel.
En pratique ceci nécessiterait de mettre en place des systèmes de « prix du CO2 » avec plancher élevé (disons 100 $/T de CO2 de 2020 à 2030) et des plafonds (disons 200$/T de CO2 de 2020 à 2030).
Les espoirs fondés sur le stockage du CO2 (CCS), l’exploitation des biomasses (biofuel, biogaz), où l’hydrogène énergie sont totalement déraisonnables au plan des analyses coûts versus bénéfices.
L’utilisation de CO2 en chimie de masse paraît à priori peu réaliste mais demande à être revue (progrès de la catalyse ?)rem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit massa enim. Nullam id varius nunc.
CONCLUSION EN FRANCE
L’acharnement antinucléaire des écologistes et la désinformation systématique par l’ADEME conduit à des politiques absurdes face aux risques climatiques, bien plus importants que les risques nucléaires.
En France on concentre les « dépenses vertes » sur l’électricté… qui est déjà décarbonnée, au lieu d’utiliser ces moyens financiers pour réduire l’usage des énergies fossiles dans le logement et les transports
(remplacement par l’électricité).
En France on a décidé de politiques énergétiques majeures sur des bases incohérentes élaborées par des organismes incompétents ou par des politiques aux motivations court terme pour des question de long terme.
Exemple : RT 2012, interdiction fracturation hydraulique, interdiction exploration pétrolière et gazière, fermetures de centrales nucléaires
(exemple de Fessenheim), sans critères rationnels pour le choix des centrales qu’il f">aut fermer si la Loi l’exige. « Absurdum Lex sed Lex »…